Une lampe torche est un matériel qui produit un éclairage. Si son utilisation est toujours temporaire et provisoire à cause des cas à circonstances instables, comme une coupure d’électricité en pleine nuit, par contre, des fois elle s’avère indispensable pour réaliser certaines tâches. Comme tous les matériels à éclairage, elle est dotée d’une ampoule et d’une pile ou batterie en guise d’énergie, les deux pièces sont reliées par un fil électrique.
La qualité de l’éclairage produite, est fonction des performances de la pile et de l’ampoule, évidemment suivie de tous les caractéristiques de l’appareil pour le dupliquer. Logiquement, plus une lampe torche produit un éclairage intense, plus sa consommation en énergie augmente. Si la qualité de la lampe est un facteur considérable sur l’intensité d’éclairage, celle de la pile doit aussi être considérée. C’est la combinaison de ces deux variables (ampoule et pile) qui donne la puissance de la lampe torche. Plus la lampe torche est puissante, plus elle s’éclaire, plus on voit mieux. Pour en savoir plus, vous pouvez vous rendre ici !
La quantification de la puissance
En notice sur les spécifications de puissance d’une lampe on note les unités suivantes : Lux, Candela et Lumen. Que signifient vraiment ces unités de mesure de la puissance de l’éclairage ? Essayons de les éclaircir.
Le lux est l’unité de mesure de l’intensité de la lumière qui s’affiche ou s’étale sur un endroit bien distinct, qu’il soit sur le sol, sur un bureau ou sur un mur. 1 Lux correspond à l’intensité lumineuse d’une bougie à une distance de 1 mètre. Les Lux s’additionnent, car pour deux bougies toujours à 1 mètre de distance, l’intensité lumineuse serait doublée en 2 Lux. Précisons au préalable que le Lux ne peut s’utiliser pour l’estimation de l’intensité lumineuse produite par une lampe torche. Par contre, elle est à la base de l’élaboration des autres unités de mesure telles le Candela et le Lumen, qui d’ailleurs, concordent parfaitement bien avec les spécifications de la lampe torche.
Le candela, appelé aussi Candle Power, est la quantité de lux produite à 1 mètre de distance par une source de lumière, au niveau du point du faisceau le plus brillant. Le Candela nous donne l’intensité de la lumière mais pas sa quantité totale. Cette intensité lumineuse peut s’intensifier suite à une application d’un réflecteur ou d’une lentille, mais la quantité lumineuse, par contre n’en changera point.
Le lumen est l’unité de mesure qui détermine la quantité totale de lumière qui provient d’une lampe, et cette quantité est toujours équivalente à la puissance combinée de la pile et de l’ampoule. Qu’il soit élargi ou restreint, le faisceau n’est plus un critère d’évaluation. Par conséquent, deux lampes torches ayant les mêmes portées et les mêmes brillances n’auront pas forcément les mêmes quantités de Lumen. Cependant, bien que si le Lumen est l’unité le plus utilisé en termes de lampe torche, toutefois, il ne précise en aucun cas sa portée. Donc, il faut toujours prendre en compte la forme du faisceau. En fin de compte, les critères d’évaluation se trouvent augmentés.
Quid de la norme ANSI / NEMA FL 1-2009 ?
Récemment, une norme standard a été élaborée et a commencé ses activités dans les années 2009. Elle est intitulée norme ANSI / NEMA FL 1-2009.
Les différents composants de cette norme sont : la portée du faisceau, l’intensité de la lumière en rapport avec la clarté du faisceau, l’autonomie, le rendement lumineux, la résistance aux coups et aux chocs et l’étanchéité. Après études approfondis, la quantification de la norme ANSI / NEMA FL 1 s’est avérée non fiable. Déjà la détermination de cette mesure est complexe, en plus les critères pris en compte sont très mal exploités, faussant d’une manière intégrale les autres normes établies susceptibles d’être recevables. On ne sait plus si l’étude a été trop simplifiée ou si elle a été rendu compliquée par inadvertance, mais le flou a totalement envahi tous les résultats. De ce fait, les fabricants des lampes torches non souscrits à la régulation digitale à partir de la sortie de la lumière, se sont sentis lésés. Des fabricants de lampe torche à haut de gamme, comme Fenix estiment que cette norme leur portent préjudice, car elle induit les consommateurs en erreur. Par contre, les grands fabricants de lampes à gamme moyenne se trouvent très avantagés. Enfin, le seul bon côté de cette norme est que les fabricants sont obligés de suivre la norme, donc qu’ils ne peuvent plus présenter des chiffres extra-optimistes, pour ne pas dire faussés.
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